Allemagne, 1975. Alors que Martin (Heidegger), malade, somnole dans la pièce d'à côté, deux femmes se livrent à un ultime duel. Qui de son épouse légitime (Elfride) ou de son élève-amante (Hannah Arendt) l'a le plus aimé ? La bourgeoise, mère de famille soumise ou l'intellectuelle juive ?
L'aventure du tournage d'un feuilleton de télévision intitulé "Le roman des intellectuels français", dont les principaux acteurs sont Lévi-Strauss, Lacan, Jankélévitch et Althusser... Par le détour romanesque, une introduction à des auteurs réputés difficiles.
Voilà l'un des premiers livres sur l'opéra qui nous révèle l'importance de l'intrigue, les paroles échangées, dans et à travers la musique. Et ce livre, c'est une femme qui l'a écrit. Car, si l'on prête attention aux drames qui se jouent dans le trompe-l'oeil de la mise en scène et d'une musique sublime, on y voit de longs cortèges de femmes bafouées dont une société d'hommes va admirer les malheurs, avant le souper.
"La prière est un coït avec la Présence divine" : cette drôle de phrase d'un rabbin ukrainien est venu tinter un soir à mes oreilles. Pourquoi ? Qu'est-ce que la sexualité d'une prière peut apporter au XXIe siècle ?
Jeune veuve de 30 ans, combattante émérite, Jézabel fut le seul chef de guerre à mourir au combat, dans une Inde où l'insurrection naquit après trop d'humiliations, d'exploitations et de brimades.
A travers une correspondance échangée au cours de l'année 1997, les auteurs évoquent les rapports qu'entretiennent les femmes et le sacré. Psychanalyse et philosophie se mêlent aux choses vues et aux petits faits quotidiens.