On s'émerveillera de constater qu'après un demi-siècle à peu près les thèmes de ces médiations n'ont guère perdu de leur actualité. On continue de raisonner sur les usages et les dangers de l'automobile, sur les périls de la pollution - bien que ce fléau fût encore sans nom en 1925 - sur les indications sociologiques fournies par le développement, l'architecture et l'urbanisme, sur les utopies qu'entretiennent les tenants de la cité future, sans oublier les morceaux de bravoures d'un comique intemporel sur les bons usages des belles-mères.