Je suis heureux. Est-ce que celà va durer ? Voilà le sujet de ce livre. Avec une espèce de culot candide, Philippe Delerm s'obstine à nous rendre heureux malgré nous.
On retrouve le personnage d'Arnold Spitzweg qui était déjà au centre de Il avait plu tout le dimanche. Employé des postes anonyme à l'existence étriquée et frileuse, il décide un jour de participer au marathon de Paris. P. Delerm brosse le portrait psychologique de son anti-héros, attachant et plein d'humanité.
Lu par Manon. Un recueil de nouvelles sur les plaisir transgressif du mojito, la surprise provoquée par l'averse, la perfection de la pastèque, la nostalgie, l'amour et le bonheur.
Un recueil de nouvelles sur les plaisir transgressif du mojito, la surprise provoquée par l'averse, la perfection de la pastèque, la nostalgie, l'amour et le bonheur.
Un recueil de nouvelles sur les plaisirs transgressifs du mojito, la surprise provoquée par l'averse, la perfection de la pastèque, la nostalgie, l'amour et le bonheur
Le jour ou Arnold cree son blog, une petite revolution est en marche : l'employe de bureau discret jusqu'a l'effacement cede donc a la modernite mais sans renier ses principes.
Porter les gâteaux du dimanche matin, prendre un porto, écouter le bruit de la dynamo, apprendre une nouvelle dans la voiture, glisser sur le trottoir roulant de la station Montparnasse, mouiller ses espadrilles, avoir un couteau dans la poche, lire le journal au petit déjeuner : des plaisirs minuscules.
Après l'immense succès de La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules, Philippe Delerm reprend le principe de textes très brefs, sortes de tableaux d'impressions pour décrire 36 nouveaux petits plaisirs ou déplaisirs du quotidien comme Donner sa place dans le métro, Gagner le coeur d'un artichaut ou Juste une omelette, comme ça.
Que du bonheur ! C’est le beau programme dont a hérité l’écrivain Philippe Delerm durant les années 88 et 89. Son secret ? Avec sa femme, tous deux professeurs, ils décident de passer à temps partiel afin de se consacrer à la création. À travers le journal de cette période bénie, le récit de l’accomplissement d’une vie
