Certains ont une peur affreuse de la mort, plus exactement de la seconde où l'on passe de vie à trépas, ne sachant pas ce qu'ils trouveront dans l'au-delà. Jean Dutourd pense pourtant qu'il y en a qui trouvent de l'agrément à l'état de défunt. C'est le cas du héros de son roman qui profite de son état d'esprit désincarné pour rendre visite à sa veuve.
Ce roman narre la vie de la jeune Mary Morstan de sa prime jeunesse jusqu'à son mariage avec le docteur Watson, célèbre acolyte de Sherlock Holmes. Cette histoire se confond dans une enquête de ces deux personnages
Ce sont deux amis d'enfance. Ils ont vingt ans en 1932, vingt-six ans aux accords de Munich. Finalement, rien ne tourne comme on croit : c'est Jacques qui trouvera les racines qui manquaient tant aux jeunes gens de l'entre-deux-guerres
Rivarol, qui mourut en 1801 (il était né en 1733), écrivait dans ses carnets : "Il serait plaisant de voir un jour les philosophes et les apostats suivre Bonaparte à la messe en grinçant des dents, et les républicains se courber devant lui... Il serait plaisant qu'il créât un jour des cordons et qu'il en décorât les Rois ; qu'il fit des princes et qu'il s'alliât avec quelque ancienne dynastie...