V. Otrochenko visite les grandes oeuvres universelles (Ovide, Catulle, Pouchkine, Nietzsche, Schopenhauer...) en s'arrêtant sur quelques bizarreries ou mystifications, dérapant même vers le fantastique (à propos de Gogol). La mise à distance étant plus que jamais nécessaire, il livre une défense de la gratuité, au-delà d'une pensée engluée dans les certitudes.