Plutarque dénonce la frayeur des superstitieux devant les dieux, constate que le phénonème est poussé à son paroxysme par la propagation des cultes étrangers et observe, amusé, des scènes aberrantes. Il prône une piété épurée et éclairée, fondée sur la raison.
Ce petit traité sur la colère et l'art de ne pas y céder fait partie des oeuvres morales de Plutarque. Il offre un dialogue entre Sylla et son ami Fundanus qui lui explique comment en observant ses réactions notamment il a réussi à maîtriser ses passions. Ces seize chapitres exposent les différentes manifestations de la colère et invitent l'homme à réfléchir sur l'inanité de sa conduite.
Deux traités du philosophe et historien grec consacrés aux animaux, à leurs "droits", à leur intelligence. Il voit dans la bonté envers les animaux, qu'il s'agit de réapprendre, un exercice préparatoire devant mener à la piété et à l'amour de l'humanité.
Ensemble de considerations morales sur la tranquillite de l'ame, que Plutarque envoie à un sénateur romain. La philosophie de Plutarque nous apprend à accepter tout ce qui arrive, car il y reside toujours quelque chose de bien.