Les toutes dernières pages qu'ait écrites Gabrielle Roy, dont le projet autobiographique a été interrompu par la maladie et la mort. Le pivot de la narration est le décès de la mère de l'auteure, Mélina Landry. Suite de: "La détresse et l'enchantement". 1997.
Deux premiers volets de l'autobiographie inachevée que G. Roy écrivit entre 1976 et 1983. Les années de formation de l'auteure, de l'enfance franco-manitobaine au retour d'Europe à la veille de la Seconde Guerre mondiale (1939). Un régal. [SDM].
Cet ouvrage occupe une place à part dans l'oeuvre de Gabrielle Roy. Ni roman ni recueil de nouvelles à proprement parler, c'est de tous ses livres celui dont l'inspiration et la facture se rapprochent le plus de la poésie, une poésie où s'entremêlent, admirablement nourris et rehaussés l'un par l'autre, l'hymne et la mélopée, la célébration et le deuil.
Quatre contes pleins d'humour, de finesse et de sensibilité dans un style sobre et vivant : Ma vache Bossie, Courte-Queue, L'Espagnole et la Pékinoise, L'Empereur des bois.
Correspondance entre Gabrielle Roy et Margaret Laurence. En février 1976, alors au sommet de leur carrière respective, Gabrielle Roy et Margaret Laurence entament une correspondance qui se poursuivra pendant sept années.Les deux romancières se découvrent de nombreux points communs, vecteurs de compréhension et de partage dépassant les barrières de l'âge et de la langue.
S'inspirant en partie de la vie de René Richard, son ami et voisin de Charlevoix, et en partie de ses propres souvenirs, Gabrielle Roy raconte ici l'aventure d'un peintre-trappeur du nom de Pierre Cadorai : ses années d'errance dans les paysages mythiques du Grand Nord canadien, ses rares rencontres, le lent apprentissage de son métier d'artiste appliqué à saisir le visage le plus nu de l'homme au milieu de la nature tantôt amicale et tantôt inhospitalière qui l'entoure, puis sa découverte de Paris et de la Provence, et surtout la recherche patiente du sen
Dans la communauté des Inuit de l'Ungava, où se sont implantés depuis peu les premiers Blancs, un drame se joue : celui de la confrontation entre les valeurs traditionnelles d'une civilisation millénaire et celles qu'apportent les Blancs, émissaires de la science et du progrès venus du Sud. -- 4e de couv.
Sous les ciels infinis du Manitoba, Christine enfant puis jeune femme découvre, à travers les expériences les plus familières et grâce à quelques êtres proches (sa grand-mère, sa mère, un vieillard du voisinage), les grands mystères de l'existence et de la création : le passage du temps face à l'éternité, la suite des générations et des âges de la vie, l'attrait et les risques de l'errance, la dure nécessité de rompre si l'on veut accomplir son destin.
À travers les 18 récits qui composent ce livre, G. Roy a transforné les souvenirs de sa jeunesse manitobaine en un roman racontant l'apprentissage d'un écrivain.
Les quatre nouvelles ici rassemblées offrent l'image peut-être la plus complète et la plus belle de tout ce que pouvait représenter pour G. Roy son pays natal de l'Ouest canadien.