Ecrivains et histoire de la littérature
Le philosophe genevois explique les raisons de sa retraite en Suisse sous la pression sociale et mondaine parisienne. Concentrant les grands thèmes de la pensée de leur auteur, ces lettres participent également d'un éloignement du public qui fonde le statut moderne de l'écriture.
L'auteur raconte l'histoire du couple formé par "ces deux maîtres à penser existentialistes". Un couple qui partageait la même "soif d'absolu" et refusait les "conventions sociales". Beauvoir et Sartre ne "vécurent jamais ensemble", "ne se cachèrent jamais" leurs multiples "liaisons", etc.
Dans ce discours prononcé en 2008 lors de la remise des diplômes aux étudiants de Harvard, l'écrivaine définit les sources étonnantes de la réussite dans la vie : l'échec et l'imagination. Elle reprend à son compte la citation de Plutarque : Ce que nous accomplissons à l'intérieur transforme la réalité extérieure. ©Electre 2019
Une biographie de l'écrivain hongrois qui fut prix Nobel de littérature 2002. Sont tour à tour évoqués la difficulté à devenir l'auteur qu'il souhaitait être, sa déportation, son rapport à la Hongrie et à l'Allemagne, ses doutes, sa consécration, l'homme, le fils et l'amant. L'ouvrage se fonde sur des sources inédites telles que les archives privées et littéraires de l'écrivain.
Deux premiers volets de l'autobiographie inachevée que G. Roy écrivit entre 1976 et 1983. Les années de formation de l'auteure, de l'enfance franco-manitobaine au retour d'Europe à la veille de la Seconde Guerre mondiale (1939). Un régal. [SDM].
Ce livre nous révèle un aspect moins connu de l'oeuvre de l'auteur: ses textes de journalistes, quelques-uns de ses souvenirs et un essai sur terre des hommes. 1978.
Regroupe 185 lettres que la romancière canadienne a adressées à son mari. Ils se sont rencontrés et mariés en 1947. Elle a eu son premier accident cardiaque en 1979. Elle mourra en 1983, avec la volonté que cette correspondance privée soit publiée.
Ce livre rassemble des textes inédits de Gabrielle Roy regroupés selon 3 espaces culturels et géographiques : le Manitoba, la France et le Québec.
Correspondance entre Gabrielle Roy et Margaret Laurence. En février 1976, alors au sommet de leur carrière respective, Gabrielle Roy et Margaret Laurence entament une correspondance qui se poursuivra pendant sept années.Les deux romancières se découvrent de nombreux points communs, vecteurs de compréhension et de partage dépassant les barrières de l'âge et de la langue. Dans sa première lettre à Gabrielle Roy, Margaret Laurence écrit d'ailleurs au sujet de La route d'Altamont : « Comme je partageais un pan de ces origines manitobaines, je pouvais si bien les comprendre et les ressentir. » Ces lettres expriment leurs espoirs, leurs frustrations, leur quotidien, leurs joies et leurs craintes. Elles offrent un aperçu remarquable de la vie de deux des plus grands écrivains canadiens, à une période où, déjà reconnues pour leur talent, ces deux auteures luttaient pour poursuivre une oeuvre qu'elles n'étaient pas certaines de pouvoir mener à terme. Grâce à l'intimité de ces échanges, ce sont les portraits de deux femmes remarquables et de leur amitié qui sont à découvrir.
Les toutes dernières pages qu'ait écrites Gabrielle Roy, dont le projet autobiographique a été interrompu par la maladie et la mort. Le pivot de la narration est le décès de la mère de l'auteure, Mélina Landry. Suite de: "La détresse et l'enchantement". 1997.