Nouvelles
Violence et humour. Des textes courts. Chaque nouvelle recrée un monde, de la Finlande à l'Islande. Pour la première fois traduite en français, R. Liksom est l'une des jeunes écrivaines vedettes de la Finlande d'aujourd'hui.
L'auteure réinvente sa vie à partir de huit épisodes réels, mais qui auraient pu se dérouler tout à fait autrement : si, à 8 ans, alors qu'elle devait fuir l'Egypte envahie par les troupes allemandes, elle avait embarqué à bord du navire qui fut torpillé par les Japonais, si elle était tombée enceinte à 18 ans, si son mari avait été envoyé en Corée, etc.
1955. Deux jeunes couples anglais partent à l'aventure et à la découverte d'eux-mêmes sur l'île d'Ibiza.
Tissant la fiction à des fragments de l'Histoire et à la mémoire individuelle et collective, C'était écrit incite le lecteur à réfléchir aux retombées de la colonisation et de l'esclavage, aux affres de la guerre, de la violence masculine des catastrophes naturelles.
Les enfants moroses croient en la beauté de ce qui est oublié : le calendrier de l’avent, acheté en solde après les fêtes ; un coquillage rose et blanc, trouvé dans la rue, en plein centre-ville ; une lettre de rupture, récupérée dans le bac à recyclage du voisin, et griffonnée au verso d’une recette de pain aux bananes. Grâce à ces artefacts, le bonheur se coagule dans la monotonie du quotidien. Une femme produit trop de lait maternel et le tire, souhaitant s’en servir afin de faire la cuisine pour ses collègues ; un homme parle de la pyramide de Maslow : où trouver le bonheur alors que sa vie n’est pas menacée ? Les narrateurs abandonnés à leur solitude transforment le quotidien en petites épiphanies. Les enfants moroses est un livre qui dévoile comment les contes de fée entendus dans l’enfance nous marquent parfois d’une manière secrète, posant à notre insu les balises d’une certaine conception du monde. Un livre qui, avec une grande subtilité, mêle passé et futur, souvenirs et prophéties. À la lecture des miniatures qui composent Les enfants moroses on s’éclaire de l’intérieur.
Huit nouvelles impitoyables évoquant les ravages et la violence importés par l'homme blanc dans le paradis des mers du Sud.
Dans ce recueil de nouvelles, Jack London conduit le lecteur dans les contrées solitaires de l'Alaska, où l'humanité apparaît avec toutes les servitudes et les grandeurs de la vie primitive.
Recueil de huit nouvelles pessimistes marquées par la jalousie, la haine et la soif de vengeance, dans lesquelles sont commis des crimes atroces. J. London, d'un sadisme parfois grinçant, révèle une face plus noire de son travail.
Dans ce roman d'anticipation, J. London imagine qu'en 2013, un immense fléau, contre lequel la science est demeurée impuissante, dépeuple le monde et anéantit l'humanité. Cependant, un espoir subsiste : les livres patiemment recueillis dans une grotte par un vieillard assureront peut-être la régénération de l'homme. Une fable sur les grandes peurs qui ravagent le monde.
Recueil de contes dans lesquels l'auteur révèle l'imaginaire québécois, tout en poursuivant en sous-main sa croisade "antirégionaliste" aux dépens des habitants de Saint-Ours, et pour leur gloire. Dix pages de présentation. Choix de jugements critiques. Les critères qui ont présidé au choix des contes ne sont pas indiqués.