Quatre personnages se croisent : la veuve d'un célèbre écrivain, leur fils, le biographe du maître et une femme, l'amour d'enfance de l'écrivain. Celui-ci lui a écrit des dizaines de lettres enflammées et lui a dédié une pièce de théâtre que tout le monde croyait perdue. Mais c'est cette femme qui détient les lettres et le manuscrit de la pièce. Une pièce métaphysique sur la création.
A partir de l'oeuvre et de la vie de ces trois écrivains, Zweig tente de répondre à la question : Comment et dans quel but l'écrivain peut-il faire de son "moi" le matériau de son oeuvre ?
En dépit de caractères, d'orientations politiques et de modes de vie différents, les deux auteurs ont entretenu une riche correspondance pendant près de dix ans. Ces quelque 268 lettres échangées alternent vie privée et vie publique et expriment leur grande amitié, au-delà des dissensions.
Un écrivain installé à une terrasse parisienne observe un homme. Il s'aperçoit bientôt que c'est un voleur à la tire et le suit dans ses forfaits. Dans la seconde nouvelle, une dame déjeune dans une auberge lorsqu'elle surprend une conversation entre un vieil homme et les paysans locaux. Elle se rend compte qu'il s'agit d'une ancienne vedette de théâtre.