Asie
Gustave Flaubert et son ami Maxime Du Camp entreprennent en 1849 un grand voyage de deux ans qui les mène sur le Nil d'Alexandrie jusqu'en Nubie. Ils s'intéressent aux monuments antiques, à la nature, aux moeurs...
En Inde, sur les traces d'une sensuelle et souveraine Reine des bandits, à l'origine de nombreux récits quasi-legendaires. L'auteure connaît bien le continent indien. 1993.
Récit d'un déchirement mais aussi d'un amour lucide pour un pays, le Viêt Nam, à travers la vie d'une famille, celle de l'auteur, retransmettant l'histoire de Saïgon, depuis l'arrivée des Français en 1859 jusqu'à la chute de la ville, le 30 avril 1975. ©Electre 2022
365 traits de civilisation, habitudes et coutumes de la Chine. Chaque page présente une coutume illustrée de motifs chinois traditionnels.
1915. Gandhi est de retour en Inde apres dix longues annees d'exil.
L'histoire de l'homme frele, qui seul et sans armes, a fait plier l'empire britannique.
Rédigé en 1681 par le maître ninja Natori Masazumi, le Shôninki présente les techniques du renseignement et de l'espionnage auxquelles se livraient les ninjas, mais aussi la doctrine spirituelle du ninjutsu, donnant accès à une connaissance plus profonde de l'homme et du monde. ©Electre 2024
Ayant grandi à Tokyo, l'auteure brosse le portrait de sa ville, décrivant et expliquant ce qui en fait une mégapole unique au monde : la foule qui ne s'arrête jamais, les souterrains, véritables villes sous la ville, les trains qui la sillonnent, les temples de quartier ou encore les files d'attente devant les restaurants. ©Electre 2024
Choisissant le métier de convoyeuse de l'Armée de l'Air, l'auteur soigne les blessés lors des évacuations aériennes jusqu'en mars 1954, son avion accidenté ne peut repartir. Elle partage le sort des quinze mille soldats pendant deux mois. Ces mémoires toucheront toutes les générations. Elles permettent à chacun d'entre nous de revivre, avec les yeux d'une femme, cette page tragique de notre Histoire.
Lors de son procès, Gandhi revient sur les raisons de sa méfiance envers la Grande-Bretagne et sur son idéal non violent. Au cours de son discours de réception du prix Nobel, le dalaï-lama prône une solution non violente au problème de l'occupation militaire et brutale du Tibet par la Chine depuis 1950.