Justice

À treize ans, Geneviève Fortin se retrouve dans la rue et bascule dans un univers auquel elle était loin d'être destinée: mauvaises fréquentations, drogues, délits et séjours en prison. Une routine qui durera presque quinze ans. Aujourd'hui, Geneviève vient en aide à des femmes en réinsertion sociale grâce à un organisme qu'elle a cofondé : Art Entr'Elles. Son engagement auprès de ces femmes représente pour elle une manière de payer sa dette à la société. Elle a également repris ses études en travail social à l'UQAM. En collaboration avec le journaliste et auteur Martin Forgues, Geneviève confie son histoire. Elle partage son expérience des deux côtés de la prison et ses réflexions sur le système carcéral.

Au début du XIXème siècle, avec la montée de la civilisation bourgeoise, une société disciplinaire d'un nouveau type se met en place. Cette société est à l'image du Panopticon de Bentham. Le système pénitencier moderne est le fils de cette société panoptique

Le 30 octobre 2017, un gendarme découvre dans le bois d'Esmoulins le corps partiellement calciné d'Alexia, disparue deux jours plus tôt. Pendant trois mois, les parents de la victime fréquentent leur gendre, ignorant qu'il a tué leur fille. Quatre ans après les faits, Isabelle et Jean-Pierre Fouillot se confient, évoquant les mensonges de Jonathann Daval tout en rendant hommage à Alexia. ©Electre 2022

A partir de son expérience au contact des prisonniers lors d'ateliers d'écriture, l'écrivain marseillais propose une réflexion sur le rôle des mots et des livres dans le parcours des individus ainsi que sur le sentiment d'impuissance face aux injustices.

L'écrivain fait le récit de sa relation avec un truand du grand banditisme marseillais rencontré dans le quotidien d'un atelier d'écriture carcéral. Cette amitié lui valut une garde à vue dans les geôles de l'Evêché à Marseille, puis le harcèlement d'un juge. Il dénonce ainsi les conditions de détention et les rouages de la justice française.

Pékin, janvier 1937. Le corps mutilé d'une jeune femme est retrouvé. Il s'agit de Pamela Werner, la fille adoptive de l'ancien consul de Grande-Bretagne. Les inspecteurs Han et Dennis sont chargés de l'enquête. L'auteur revient sur cette affaire, livre les témoignages des dernières personnes vivantes et exhume des notes jusque-là restées secrètes du père de la victime.

On dit de lui qu’il est le virtuose de l’interrogatoire, et pour cause : Jacques Landry en a mené plus de 12 000, d’abord à titre d’enquêteur de la Sûreté du Québec, où il a travaillé pendant 25 ans, ensuite comme polygraphiste privé...

A partir de l'examen du fonctionnement de plusieurs organisations criminelles, de l'Antiquité à nos jours, D. Gambetta montre comment les criminels communiquent entre eux, se font connaître, créent leur réseau, parviennent à déterminer à qui ils peuvent faire confiance et quelles sont les informations qu'ils peuvent divulguer, etc.

Avocat et écrivain, M. Garçon a rédigé un journal de 1912 à sa mort qui était resté inédit. Familier d'intellectuels et de politiques, il témoigne avec verve de l'actualité et de ses rencontres. Pendant l'Occupation, il livre une chronique quasi quotidienne de sa vie à Paris, en province et dans les coulisses du palais de justice et du monde politique. Une histoire immédiate des années noires.

Avocat et écrivain, M. Garçon a rédigé un journal de 1912 à sa mort qui était resté inédit. Familier d'intellectuels et de politiques, il témoigne avec verve de l'actualité et de ses rencontres. Pendant l'Occupation, il livre une chronique quasi quotidienne de sa vie à Paris, en province et dans les coulisses du palais de justice et du monde politique. Une histoire immédiate des années noires.
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