Roman classique
Sur le fond des grands événements du début du XIXe siècle, s'inscrivent les chroniques de deux familles appartenant à la noblesse russe, les Bolkonski et les Rostov. Cette traduction se fonde sur la version de 1873. Edition publiée à l'occasion de l'année de la Russie en France et du centenaire de la mort de l'écrivain.
Léon Tolstoï a vu le corps déchiqueté de la maîtresse de son voisin, qui s’était jetée sous un train. C’est la source de ce roman-fleuve, réaliste, d’amour tragique qui nous offre un vaste tableau de la société russe, sous les tsars, à la fin du XIXe siècle, au moment où les idées libérales de l’occident commençaient à détruire les vieilles traditions.
Résumé en cours
Sur le fond des grands événements du début du XIXe siècle, s'inscrivent les chroniques de deux familles appartenant à la noblesse russe, les Bolkonski et les Rostov. Cette traduction se fonde sur la version de 1873. Edition publiée à l'occasion de l'année de la Russie en France et du centenaire de la mort de l'écrivain.
La peinture de la ruine, de la corruption et des meurtres, dans ce monde de paysans, se termine par la rédemption contagieuse d’un grand coupable et les conseils chrétiens de charité et d’amour du prochain, thèmes chers à Tolstoï.
Dans ce pamphlet, censuré en Russie dès sa parution en 1893, Tolstoï dénonce la violence justifiée et entretenue par les pouvoirs politiques et religieux et prône la résistance au mal par la non-violence. Avec en fin d'ouvrage, la correspondance entre l'écrivain et Gandhi à propos de ce texte, décisif pour ce dernier dans son choix de la non-violence. A la suite du livre : la correspondance complète entre Tolstoï et Gandhi
En villégiature avec son frère Gaguine dans une petite ville d'eau allemande, Assia, fille illégitime d'un gentilhomme et d'une domestique, fait la connaissance de N.N., le narrateur, qui s'est réfugié dans ce coin perdu pour fuir une femme volage et cruelle. Une idylle se noue mais ce dernier hésite à lui demander sa main.
Jacques Aratov est troublé par l'actrice Clara Militch quand il la croise, mais bientôt il l'oublie. Quand il apprend son suicide, il cherche à comprendre les raisons de son geste. Histoire d'une passion amoureuse malgré la mort. Dernière oeuvre publiée du vivant de l'auteur, en 1883.
Au lendemain de l'abolition du servage en Russie, tout oppose les pères et les fils. Les premiers, fatigués, bienveillants et convaincus de la nécessité du libéralisme pour développer le pays, s'opposent aux fils, amers et désespérés ne croyant qu'à la destruction de l'ordre.
En 1833, à Moscou, Vladimir Petrovitch raconte à ses amis l'histoire de son premier amour, Zénaïde.