Roman classique
Un père se dépouille peu à peu de son bien pour en faire profiter ses deux filles.
Ce roman constitue le troisième épisode de l'Histoire des treize, un cycle inauguré en 1833, qui met en scène les membres d'une société secrète, les Dévorants. Ceux-ci se sont juré une aide mutuelle secrète et sans exclusive. L'un des membres, Henri de Marsay, beau, riche et jeune veut séduire Paquita Valdes.
Après une jeunesse amoureuse des plus tumultueuses, Julie, à 30 ans, dans le plein épanouissement de sa beauté, vit pourtant désormais l'heure douloureuse des renoncements : son mariage avec le volage Victor d'Aiglemont, l'échec de ce couple, de leur union, la désillusion enfin.
Angoissé par la vieillesse, le cousin Pons, "homme-Empire" survivant à la monarchie de juillet, se raccroche à la bonne chère et aux objets. Les chefs-d'oeuvre, eux, ne vieillissent pas. Sa collection prend une valeur considérable. Ce parent pauvre et méprisé devient alors la cible des convoitises les plus sordides de ses cousins bons bourgeois et de sa concierge. Il découvre son seul véritable ami, le vieux musicien Schmucke. Il lui léguera son trésor mais des vautours tournent au-dessus du musée.
Véronique Graslin expie à Montegnac, petit village du Limousin, son passé de femme adultère et coupable.
L'éducation sentimentale d'un jeune homme, magnifique rejeton de la plus vieille race bretonne, et le douloureux vieillissement d'une femme de lettres, qui, après avoir hésité devant un dernier amour, achève sa vie dans un couvent
Le seul authentique récit de voyage de Balzac, par ailleurs grand pasticheur de ce genre littéraire. A travers le style enlevé et la plume cinglante transparaît le véritable motif de ce voyage : l'amour pour la comtesse Hanska.
Dans la Normandie post-révolutionnaire, l'impossible passion d'une aristocrate déchue pour un abbé chouan défiguré par les Bleus.
Dans les années 1830, le séduisant Ryno de Marigny projette d'épouser Hermangarde de Polastron, jeune orpheline très pure et fort polie. Mais le dandy doit quitter la Vellini, une maîtresse fort encombrante. La comtesse d'Artelles informe sa vieille amie la marquise de Flers, grand-mère d'Hermangarde, du danger que court sa petite-fille.
Le roman dans lequel des anciens chouans évoquent la Révolution et leur jeunesse marquée par l'amour et la violence, est accompagné de questions de lecture, d'études sur le contexte historique et artistique de sa parution, sur sa réception, etc.