Poésie

Nathan, un adolescent surdoué, est renversé par une voiture devant son collège. Izia, qui a vu la scène, est persuadée qu'il s'agit d'un crime. Près de là, Morgane rencontre Timothée, qui souffre au moindre contact physique. Les trois adolescents reçoivent bientôt des messages posthumes de la part de Nathan. ©Electre 2018

Recueil poétique composé de seize séries en prose et en vers donnant à voir des instants furtifs dans un quartier parisien, dans une gare, dans un bar, entre autres. ©Electre 2024

Un recueil de poèmes et de textes en prose relatant des voyages en Algérie, en Bretagne ou dans le Cantal où des paysages invitent à méditer, à se recueillir, à se régénérer et à écrire.

Des poèmes issus de voyages et de déambulations au contact de l'inconnu. Ils tentent de traduire par les mots la perception d'un lieu, d'un moment, et de dire l'élargissement de la conscience.

Version abrégée de cette épopée nationale iranienne écrite en l'honneur du sultan Mahmoud. Le poète persan Ferdowsi y chante l'histoire de l'humanité et de l'Iran. Il conte les règnes de cinquante monarques, depuis le premier homme-roi, le légendaire Kiumarss, jusqu'au dernier souverain historique sous le règne duquel la Perse est passée sous domination arabe au VIIe siècle. ©Electre 2023

À l'aide d'une écriture d'une grande force poétique, Léo Ferré rédige ici une sorte de manifeste de la solitude, de l'imaginaire et de la révolte.

Sous-titré "poème lyrique", Les noces de Londres fut composé par Léo Ferré vers 1950, alors qu'il participait en tant qu'acteur au tournage du film de Basil Dearden La cage d'or. Il fait partie des nombreuses oeuvres dialoguées qu'il a écrites.

Admirer les étoiles, croiser la faune, enlacer les arbres, écouter le vent et les ruisseaux, apprivoiser pénombre, solitude et silence : voilà les prémices de ce recueil. Il aura fallu à son autrice une décennie dans le bois - et l'écriture de ces pages de sang et de sève pour comprendre pourquoi elle y restait campée, envers et contre tous.

L'auteur observe les passagers du métro bruxellois, fasciné par la diversité des personnes rencontrées. Il enchaîne une série de portraits en décrivant leur apparence et leurs attitudes.

Je m’arrête ici. Un regard se pose au plus près de vivre. L’instant capté est à la fois fragile et immense : ce n’est pas rien, un corps, dehors. Comment mesurer la distance entre ce que l’on perd et ce que l’on laisse, entre les limites de soi et celle du monde, entre le vaste et le petit ? Le quotidien devient le témoin d’une tendresse cachée où se fabrique, par fragments, une mythologie de l’intime et de la solitude : un matelas, une fleur, la neige. Est-ce le matin ou la chambre noire qui révèle en premier ce qui nous reste ? Je ferai battre le coeur des pommes n’est pas un testament. C’est une lettre d’amour à ce qui nous dépasse et nous survit. Avec des photographies de
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